Histoire érotiques : Plaisir solitaire et partagés

CHAPITRE 4

Cette réserve et cette timidité qu'on devine dans l'allure sage et le physique juvénile d'Aurélie finit malgré tout par ressurgir. C'est le cas par exemple le jour ou mon coloc finit par rentrer à l'improviste alors que nous sortons tous les deux à moitié nus d'une séance de baise dans la salle de bain. Je ne cache pas à mon coloc qu'il a failli nous surprendre en plein coït, Aurélie réalise alors que nos conversations doivent parfois porter à son sujet. Elle me demandera plus tard un peu timidement ce que mon coloc pense d'elle, je lui répondrai sans mentir qu'il ne pense d'elle que du bien. Je ne lui dirais pas que le soir même je lui raconterai comment elle a joui avec le pommeau de la douche pendant que je giclais sur son cul. Après tout, j'ai enfin moi aussi des histoires sympas à lui raconter.

Et puis de temps en temps, nous passons le week end chez elle, enfin chez sa mère. Et là m'apparait une Aurélie qui retrouve ces affects adolescents qui sont ceux de ramener un petit ami à la maison face à des parents qui sont bien conscients que vous n'avez plus l'age de vous contenter de jouer aux jeux de société quand vous vous enfermez dans la chambre. Si nos câlins restent plutôt sages, une douche à deux finit par dégénérer en levrette énergique dans la cabine de douche. Malgré le bruit de l'eau, les cris d'Aurélie et mes gémissements ne laissent guère de doute sur ce que nous faisons. Quand nous sortons, elle est mortifiée de croiser sa mère dont il serait étonnant qu'elle ne nous ait pas entendue. A ce moment elle est si gênée qu’heureusement elle ne se rend pas compte que la situation m'excite terriblement.

Pourtant elle a passé une partie de son adolescence dans cette chambre et c'est sans doute là qu'elle y a découvert son corps. Elle a commencé à se caresser à cette époque là et n'a jamais vraiment arrêté. Elle finit par sortir d'un tiroir bien caché un petit sextoy offert par une amie qu'elle utilise de temps en temps. Je lui intime de me montrer comment elle s'en sert mais elle refuse. Non seulement j'aime qu'elle se fasse plaisir elle même mais ça m'excite aussi beaucoup, le spectacle d'une fille en train de se caresser, je trouve ça hyper bandant. Pour elle, c'est un truc intime, ou un truc dont on discute entre amies de confiance. C'est l'idée que tous les garçons se branlent et c'est comme ça et les filles, très peu et ça ne se dit pas. Par ailleurs, mes précédentes petites amies (certes mon palmarès n'est pas grand) se défendaient de le faire.

Si elle a conscience que je me masturbe régulièrement, est-ce que ça la gêne ? Visiblement non. Ou alors l'accepte-t-elle comme un moindre mal. Au fur et à mesure que nous nous fréquentons, elle finit par tomber ce qu'un mec cache normalement à sa copine, une pile de magazines sexy (mais pas pornos), reliques de mes fantasmes de jeune homme (et les créatures qui vont avec: Alyssa Milano, Alizée, Alyson Hannigan, Natalie Portman, Clara Morgane et quelques autres...) qui ont forgé mon imaginaire érotique ainsi que quelques disques durs remplis de vidéos pornos diverses et variés, vestige d'un période ou les tubes ne conditionnaient pas encore l'essentiel de la consommation du cul sur le Net.

Moins excitée elle-même que curieuse de savoir ce qui moi m'excite, j'en profite pour lancer une vidéo finalement assez classique avec Katsumi, une des icônes incontournables de l'époque. Tous les codes du genre son là dans la vidéo, la caméra fish eye se rapproche en gros plan pour la filmer en train de sucer avec gourmandise ses deux partenaires et assez vite elle se fait défoncer sans trop se poser de question, son enthousiasme tranchant avec l'aspect routinier de la scène (pipe, pénetration, cunni, pénétration, sodo etc..). Dans la liste des vidéos, je tombe alors sur la vidéo d'un site que j'aime bien spécialisé dans les scènes de masturbation féminine. De manière simple et réaliste, des jeunes femmes sont filmées en train de se caresser en temps réel jusqu'au plaisir. Ces vidéos me plaisent beaucoup et comme nous avons parlé ensemble de plaisir solitaire, je lui en montre une.

Elle est fascinée. Une jolie fille brune se caresse sur un lit d'abord avec les mains puis avec un vibrateur. La lumière est douce et la fille prend son temps pour faire monter le plaisir. Pas de musique, pas d'artifice. Dans une autre, la fille est nue sur le canapé d'un salon, la situation semble quotidienne, le cadre intime, elle se laisse aller devant la caméra puis se laisse submerger par la jouissance qui arrive sans prévenir. La douceur et la sensualité de ses gestes et le sourire enfantin sur son visage contraste avec l'intensité de son orgasme et ses cris. Çà impressionne beaucoup Aurélie et elle se blottit contre moi, troublée et excitée.

Quelques temps plus tard, un soir que nous sommes seuls chez elle, nous montons dans sa chambre, elle retire devant moi le bas de son pyjama et sa petite culotte et se couche devant moi sur le lit. Elle me sourit et m'offre le spectacle d'une Aurélie dans l’intimité de sa chambre de jeune fille, là ou elle a sans doute connu ses premiers émois sexuels. Elle commence à caresser ses cuisses et son ventre puis glisse sa main entre ses cuisses qu'elle ouvre pour laisser apparaitre sa chatte. Elle commence a titiller vivement son clito et ses yeux se ferment et l'excitation semble monter à toute vitesse sans qu'elle puisse le contrôler. Elle s'interrompt alors pour enlever le haut de son pyjama et c'est totalement nue qu'elle ouvre le tiroir de sa table de nuit pour en sortir son petit sextoy rose.

Elle l'allume et le fait aller et venir sur ses lèvres et son clito, Son corps semble se tendre et se détendre aussitôt et sa respiration devient de plus en plus irréguliere. Au bout de quelques minutes, elle finit par retirer le sextoy et ses jambes se mettent à s'agiter de manière presque incontrôlée, ses mains effleurent ses cuisses et ses seins et elle se retourne sur le ventre. Elle se frotte alors contre le drap de manière presque a****le et passe sa main entre ses cuisses pour se doigter. Elle m'offre la vue de son cul, ses cuisses écartées et ses doigts qui s'enfoncent dans sa chatte. Son bassin se relève, ses jambes se tendent et ses pieds se tordent jusqu’à ce que l'orgasme vienne enfin la libérer de sa tension dans un long gémissement plaintif. Il lui faut un moment pour retrouver son souffle et je sors enfin de ma position de voyeur pour venir la caresser comme on câline un petit chat qui miaule. Elle sourit, elle semble satisfaite et moi je viens de voir se réaliser un de mes grands fantasmes...
Δημοσιεύτηκε από rechercheduplaisir
Πριν από 1 έτος
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rechercheduplaisir
σε Rethotrique : Merci du compliment ! je vais essayer de poster la suite d'ici peu ! :smile:
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Rethotrique
Super récit !
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